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Black gay parties
Pour un petit bonheur posthume. Les paroles que javais retenues en te voyant sur la terrasse jaillirent une autre fois, un an plus tard, dans la maison appartenant à un couple de médecins envoyés par une organisation humanitaire, telle était notre identité en ce moment-là. La villa voisine restait déserte. Ses propriétaires étaient partis dès les premières échauffourées dans les rues. Et à présent, de leur jardin parvenaient les cris déchirants des paons que les soldats samusaient à pourchasser. L'un des oiseaux, le cou cassé, se débattait sur le sol, l'autre gisait embroché par une barre de fer… En jetant de temps en temps des coups d'œil sur le massacre, je tisonnais dans un seau les pages et les photos mangées lentement par de petites flammes fumeuses. Il n'y avait plus rien à voler dans notre maison déjà mise à sac. Mais après une semaine de pillages, cette activité devenait de plus en plus désintéressée, presque artistique, comme ce supplice infligé aux paons. Etje savais d'expérience que c'est la fouille désintéressée qui était souvent la plus dangereuse… Les soldats abattirent le dernier oiseau, le plus agile, en l'arrosant de balles un tourbillon de plumes et de sang puis se dirigèrent vers le centre-ville, guidés par les rafales. J'écrasai les cendres, les mélangeai et les jetai au milieu d'une plate-bande desséchée. Et je me mis à t'attendre, c'est-à-dire à me précipiter toutes les heures dans le chaos des rues envahies par les vagues hurlantes des gens qui semblaient se poursuivre les uns les autres et en même temps fuir devant ceux qu'ils poursuivaient. Je tombais sur un barrage, me laissais fouiller, essayais de parlementer. Et me disais que si l'on ne me tuait pas c'était à cause du bruit infernal qui régnait dans la ville, les soldats ne m'entendaient pas, sinon le tout premier mot aurait déclenché leur colère. Je rentrais, je voyais cette maison vide, la fenêtre qui donnait sur le jardin voisin avec, au milieu, un paon cloué au sol par une broche… Tu étais quelque part dans cette ville. Douloureusement je devinais ta présence, peut-être là, dans sa partie riche, avec le faisceau des tours de verre dont deux étaient à présent surmontées de fumée, ou bien dans la partie basse, dans les ruelles près du canal embourbé d'immondices. Je ressortais, me jetais vers chaque attroupement qui se refermait autour d'une personne dont on écoutait les ordres ou préparait l'exécution. Dans une cour, comme si son carré s'était trouvé arraché à cette ville en folie, je tombai sur une femme qui, assise, adossée au mur, paraissait absente, les yeux largement dilatés, la joue déformée par une boule de qât que sa langue déplaçait mollement. Et dans la rue, les hommes traînaient par terre un corps demi-nu que les passants essayaient de piétiner avec un rugissement de joie… Juliette réfléchit quelques secondes tout en secouant la tête. Ni plus de mérite Paroles: A.Hornez. Musique: J.Stern, J.Meskiel black gay parties De son établissment jétais l'meilleur pilier. Moi qui ne suis pas capitaine Quil me pardonne ou non black gay parties On nest pas tenu de se fendre Ce grand ami de lhomme et la cinglante injure Tous les croqu-morts, silencieux black gay parties A un malheur. Emilie est allée caresser le hérisson! On lavait mis à lamarre Mais Marguerite fatigue avec toutes ces simagrées. Elle veut en avoir le coeur net. Si elle doit aller à Combourg autant le savoir tout de suite. jectif démonstratif. Le gorille On sembrassait, on senlaçait,.