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My mother masturbating
Dépassant tous les pronostics, Pauvre Mercier. Qui espère encore après les filles intelligentes et qui va à ses premiers rendez-vous avec son portable dans une housse en plastique accroché à la ceinture et son autoradio sous le bras. Paroles et Musique: Georges Brassens 1976 Et la Mogador et Clara. my mother masturbating Ben nan… Se plaignit-elle, et je baissai le front, piteux, Mimi, de prime abord, payait guère de mine, Peut bien aller se rhabiller… Tu te levas, entras, en emportant leau. Je ressentis très physiquement en toi les jours rêvés dun passé totalement étranger à cette ville, à cette vie. Et même quand, plus tard dans la nuit, tu semblas te réduire à ce seul corps amoureux, cette étrangeté était encore là. Dans l'étreinte ma main enserra ton avant-bras et mes doigts retrouvèrent ces quatre entailles découpées dans la chair, marques d'une ancienne fusillade. Ces profondes rayures faisaient penser à l'empreinte qu'aurait creusée une large patte griffue en laissant échapper sa proie. Nous partons ce soir à huit heures pour la Bretagne. La première fois que je lai vue, cétait au studio d'enregistrement de la rue Guillaume-Tell. On était dans la colle depuis une semaine et tout le monde nous prenait la tête avec des histoires sordides de fric parce qu'on était en retard. Moi jai trouvé les pieds dune reine Braves gens, braves gens Quje mdémène ou qu'je reste coi Je memparai dun stylo et écrivis deux lettres, l'une à ma mère, l'autre à mon père. Dans cette dernière, je décrivais mon séjour comme une longue détention dans un taudis mal famé, au sein d'une famille de junkies qui n'auraient eu de cesse de me faire des injections d'héroïne pure en m'attachant à un radiateur. Sous ma plume, il y avait plus de cocaïne que de glucose dans les sucriers de Lord Peak, le père violait de temps à autre ses invités au cours de bacchanales fiévreuses, la mère lubrique s'adonnait aux pires turpitudes et Algernon, le butler, devenait un trafiquant immonde, vivant du commerce d'organes qu'il volait à des enfants faméliques de Liverpool. Je n'avais pas fait dans la dentelle, assaisonnant au passage tous les acteurs prévenants de mes délicieuses vacances chez les Peak. Mon texte se terminait par un appel au secours véritablement poignant. Lui criait rejoins la rive Il travaillait sous un pseudonyme ! dit-elle en criant. Si vous ne dites rien à Leguennec, il na aucun moyen de savoir que Georges était dans le coup cette année-là..