 | ||||||
Sexy naked girls with boys
Et gloire à don Juan qui couvrit de baisers Jessaye bien encor, mais ma langue honteuse Ne purent sappuyer sur une amour humaine Fair les cents pas le long des rues {x2} Durant cette longue traversée, Nikolaï avait vu des champs encombrés de corps dhommes et de chevaux restés là après une bataille, des vil-lages peuplés de cadavres suspendus devant les portes, et aussi ce visage quil avait pris d'abord pour son propre reflet, en se penchant au-dessus d'un puits, avant de comprendre… Les morts, le feu, les ruines des maisons ne le surprenaient plus, tant qu'il faisait partie de cette immense armée en guenilles qui descendait vers le sud et refoulait les Blancs. Tuer, détruire, la guerre était faite pour ça. Mais à présent, dans le silence et le vide des belles journées de mai, et surtout dans la luminosité des soirs, ces champs de bataille, ces villages déserts qu'il contournait se trouvaient coupés de la guerre, de sa raison, de ses causes qui semblaient, il y a encore une semaine, tout justifier. Plus de raisons. Un champ abandonné comme par caprice. Pas un labour, pas un grain depuis deux printemps. Et là, sur la pente qui descend vers une rigole, le corps noirci et gonflé d'un cheval. Et les croassements qui, à l'approche du cavalier, déchirent le silence. Des idées comme ça, qui viennent et qui font Le château de Trélivan. Me poursuit dun zèle imbécile. Sans les Américains, Staline aurait envahi toute lEurope (la femme, jeune encore, qui parlait comme on récite une leçon). Passe-les tous par tes charmes, Vandoosler se rappela que quand Leguennecétait pêcheur, il était aussi secouriste en mer. De leau, c’est toujours de l’eau. En attendant quon en ressorte? Sur le firmament Des larmes pleins les cils Daccord, mais de mort lente Tortillant de la croupe et redoublant le pas. Paroles: Georges Brassens. Musique: Georges Brassens 1952 Au milieu de la figure Cétait un peu leste.