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Erotic chinese story
Il sauta dans la tranchée derrière un mort, un soldat à la poitrine déchiquetée par une rafale. En tombant, ce corps détourna, pour une seconde, le regard de deux Allemands qui sécartèrent pour éviter le cadavre. Une seconde qui put contenir cet oblique coup de couteau, une mitraillette arrachée aux mains de lun des Allemands, un tir qui devança à peine le geste de l'autre soldat. Pavel courait, se jetait par terre, tirait toujours un peu en avance sur le temps des autres. Tout lui paraissait lent: le couteau qui s'enfonçait lentement sous l'oreille de l'Allemand, la chute du corps qui se débattait et le maculait de sang, le regard de l'autre soldat qui, gêné par l'étroitesse de la tranchée, secouait son arme coincée entre son ventre et la paroi de terre, et qui avait le temps de comprendre qu'il était trop lent… Le combat avait pris fin depuis un moment déjà et c'est avec retard que se déroulait maintenant au fond de son regard le temps qu'il avait réussi à devancer. Il était sorti de la tranchée et la longeait en se dirigeant vers le petit groupe de survivants qui se rassemblait autour du commandant. Ils se regardaient comme s'ils se voyaient pour la première fois. Il ny était pas hier. Qui me fera grosse impression Jai pas la croix de guerre Ne fut même pas réélu. Cest quoi exactement? erotic chinese story etait imbuvable. {2x} Pas à moi, dit-il en se rasseyant. La visite de cet arbre mest plutôt sympathique. On lui fout la paix et voilà tout. Et toi, tu me fous la paix avec lui. Si quelqu’un s’est trompé de jardin, tant pis pour lui. Pendant la perquisition, ils mavaient obligé à me tenir le front contre le mur, comme un enfant puni. Toi, en maîtresse de maison, tu étais de temps en temps sollicitée pour ouvrir un tiroir, offrir un verre deau. Tu t'exécutais sans interrompre le va-et-vient d'un éventail improvisé: quelques-uns de ces tracts révolutionnaires qui jonchaient les rues et pénétraient dans les maisons par les fenêtres brisées. C'est entre leurs feuilles que tu avais glissé les photos et les messages chiffrés que nous n'avions eu le temps ni d'envoyer au Centre ni de brûler. C'eût été l'unique découverte vraiment dangereuse. Curieusement, ces tracts dans ta main traçaient une fragile zone de protection autour de nos vies qui manifestement gênaient les soldats. Je sentais cette tension, je la comprenais chez les jeunes hommes armés. Ils luttaient contre la tentation d'une brève rafale qui les auraient libérés de notre regard en rendant au pillage sajoyeuse sauvagerie. Mais il y avait ces slogans de justice révolutionnaire fraîchement imprimés sur les tracts en éventail. Il y avait aussi ce haut-parleur, sur un camion, qui depuis le matin déversait dans les rues les appels au calme et proclamait les bienfaits du nouveau régime… En tournant légèrement la tête, je voyais les mains qui fourraient dans le sac un transistor, une veste et même cette lampe vissée sur le bord de la table et que tu aidas à détacher en réussissant à ne pas trahir le côté comique de ta participation. Tu savais qu'un infime changement d'humeur pouvait provoquer la colère toute mûre et le bref crachat d'une mitraillette. Le soldat qui enleva la lampe s'appropria aussi les billets de banque exposés sur le bureau. Et comme ce geste ressemblait plus que les précédents à un simple vol, il crut bon de le justifier en parlant, sur un ton à la fois menaçant et moraliste, de la corruption, de l'impérialisme et des ennemis de la révolution. Ce ton était celui, didactique et pompeux, du haut-parleur. Les mots d'ordre répétés sans cesse finirent par imprégner jusqu'à nos pensées et c'est dans ce style que, malgré moi, se formula ma parole muette: Cet argent convoité, c'est la fin de votre révolution. Le serpent de la cupidité s'est glissé dans votre maison neuve… Il eut un retour de printemps Le cauchemar Mon cœur est dejà pris par une grande… erotic chinese story Le scénario de base de ce jeu de lhôtel exigeait que mes parents se présentent à la réception dun établissement, normand en général, à un quart d'heure d'intervalle, pour prendre chacun une chambre individuelle, réservée sous un faux nom. Ensuite, tout était permis. Ils pouvaient faire semblant de ne pas se connaître pour mieux se rejoindre en douce ou s'amuser à se rencontrer en endossant des rôles toujours neufs. Oui. Cest là que Marguerite aurait emmené son Yann je suppose… Quest-ce que ça pouvait lui faire qu’un inconnu attende Relivaux toute la journée ?.