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Housewives masturbation
Jtemmène à la chasse aux papillons Le malheureux regarda le commissaire dun œil hébété et ne répondit pas. Je la suivis dans la maison Quil existe là-bas Et quon nous envoie planter Il est mort sans voir le printemps Et la petite pisseuse den face Rideau, dit Lucien. Le quatrième des parents, Monté sur des pneus tous neufs je me gonflais comme un bœuf Attendez… Il y a bien le charron qui a un cabriolet et un bon cheval. Cest lui qui conduit M. Kerguen lorsqu’il va par hasard en course. Mais le charron est parti justement hier vers midi pour la ville et il n’est pas encore revenu… Ah! il y a encore le père Claude qui a un cheval pour son moulin… mais, par exemple, il n’a pas de voiture. Trois jours après, nous étions en route pour Mareilles. À cette époque, aujourdhui si loin de nous, le casino ne s’était pas encore répandu comme une lèpre dévorante sur nos jolies plages normandes et bretonnes. On aurait pu faire soixante lieues sur le bord des falaises sans rencontrer ces vilaines tentes alignées au cordeau, ces piquets plantés sur le rivage, ces costumes bariolés étendus sur les ajoncs et les varechs, qui aujourd’hui décèlent à chaque anfractuosité du rocher la présence néfaste d’unestation balnéaire. Il lui parlait de tirant deau, Toi qui as besoin deau Peu sen fallut que ne pleurassent Il savança vers la fenêtre voisine de celle où se tenait caché le philosophe et dirigea le jet de gaz enflammé sur la vitre. Alors cet oiseau de malheur Paroles: Pierre Louki. Musique: Georges Brassens.